Autour d’un verre – Le baiser Arc en ciel
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Peinture originale sur châssis de Matthieu Exposito, signé par l’artiste. Livré avec certificat d’authenticité.
32 000,00 €
Technique | Peinture à l’Huile |
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Format | 180x131cm |
Support | Toile de lin sur cadre de bois |
Couleurs | Bleu, Bleu ciel, Gris, Jaune, Moutarde, Noir, Ocre, Orange, Rose, Rouge, Vert marécage, Violet |
Création | 2008 |
Matthieu Exposito, artiste peintre, œuvre d’art, peinture originale, peinture sociale, expressionnisme, le baisé, arc en ciel, pigalle, couple, amoureux, figuration libre, naturalisme, bar, bistro, le rade, le mistral, le bistre, le bistoquet, le troquet, le carberlot, le caboulot, le zinc, Otto dix, Max Beckmann, Kathe kollwitz, graphisme, œuvre graphique, Charles Bukowski, contes de la folie ordinaire, engagement social, pilier de comptoir, Zola, tolstoï, original drawing, artwork, artpaint
Le mot de l’artiste :
Une de mes plus belle toile sur le thème « Autour d’un verre », 3 ans avant de la terminer définitivement. Maintenant elle est prête à être adopté. Un jour, dans un bar, j’observais un couple d’amoureux un peu ivres qui s’embrassaient et que je m’apprêtais à dessiner… mais ils s’embrassaient d’une façon tellement bizarre que je n’ai absolument pas su comment commencer mon dessin. C’est en dormant que j’ai rêvé de ce couple. Avec la femme, tellement excitée par les vapeurs d’alcool, qu’elle s’est mise à croquer goulument la dent de son partenaire comme un croque-mort mordant l’orteil d’un cadavre. Le fracas de la dent de l’homme, arrachée par les dents de son amante, m’a alors réveillé et j’ai dessiné cette vision cauchemardesque non pas dans le bar mais dans mon atelier, contrairement à mes autres dessins de la série « Autour d’un verre ».
Cette peinture fait référence à un dessin que j’ai réalisé dans un bar, puis produite en sérigraphie en noir et blanc « ADV_005 », tiré d’une série de 800 dessins réalisés dans les bars de 2004 à 2006 où j’allais observer la condition humaine, à raison de 8h par jour pendant des périodes de 1 à 4 semaines, et je dessinais ce que je voyais. Ce sont mes « Contes de la folie ordinaire » à moi.